Paré pour sa première leçon de conduite !
29/11/2013 01:44 par sweet-cherry
Rupture confirmée
Les histoires d’amour du cinéma finissent mal, en général. Celle de Jean Dujardin et Alexandra Lamy était l'une des plus belles jamais contées. Il était une fois un couple d’acteurs néophytes réunis pour un programme court de la télévision. «Un gars/une fille», Chouchou/Loulou, et une alchimie palpable entre les deux êtres attirés l’un vers l’autre comme le papillon vers la lumière.
Les passions sont toujours contrariées : ils sont déjà avec un autre et ont des enfants, lui deux garçons, Simon et Jules, elle une petite fille Chloé. Mais l’amour est plus fort que les obstacles du destin qu’ils franchissent bientôt main dans la main. Une pièce de théâtre scelle leur amour : «Deux sur la balançoire» lors de laquelle ils partagent la scène et le formidable texte de William Gibson. Le 25 juillet 2009, ils se marient à Anduze (Languedoc-Roussillon). Ils sont beaux, croquent dans la vie et le cinéma à pleines dents.
Et puis avec le temps, tout s’en va. Le succès XXL de «The Artist» éloigne Jean des bras d’Alexandra, le temps d’une intense campagne pour les Oscars. Premières rumeurs d’un couple qui ne se voit plus assez pour entretenir la flamme de la passion. Depuis juin 2012, ils n’apparaissaient plus ensemble sur les tapis rouges, de quoi enflammer les ragots de la presse people. C’est fatigué de tout ce déballage que Jean Dujardin a pris la parole, mardi dernier.
Lors de la remise du 67e Prix du quai des Orfèvres ce 12 novembre à Paris, la star que l’on retrouvera prochainement dans «The Monuments Men» de George Clooney et «Le Loup de Wall Street» a dit sa vérité devant les caméras et les micros. «Ce n'est ni plus ni moins que l'histoire d'un couple qui se sépare comme n'importe qui.», a-t-il sobrement expliqué, avant d’ajouter qu’il n’était pas en dépression comme certains journaux people l’avaient titré : «Premièrement, c'est faux. Et par rapport aux gens, je trouve cela ignoble, mais vous savez, moi, ça me glisse dessus. Je tourne en ce moment et je vais très bien.»
Alexandra Lamy, elle, a pris le train pour Londres où elle vit avec sa fille Chloé loin de l’effervescence parisienne. Dans une interview accordée à «Nice Matin», elle a expliqué ce choix par la nécessité d’apprendre l’Anglais pour sa fille, et le désir de la protéger des médias.
Modifions le statut juridique de l'animal
Au même titre qu'une chaise ou une étagère, les animaux appartiennent à la grande famille des "choses" dans le Code civil français. Vrai casse-tête pour les juristes, cette situation a fait l'objet d'un appel de 24 intellectuels, demandant la révision de ce statut juridique. David Chauvet, membre fondateur de l'association "Droits des animaux", les soutient.
Le récent appel d'intellectuels, relayé par la Fondation 30 millions d'amis, en faveur d'une modification du statut juridique de l'animal dans le Code civil relance ce débat porté depuis quelques années par les acteurs de la cause animale.
En 2005, un rapport Antoine remis au ministère de la Justice déplorait que les animaux soient considérés comme des choses par le Code civil, en contradiction notamment avec l'article L214-1 du Code rural qui dispose que "Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce".
De nombreuses autres normes lui sont en contradiction, comme l'article R.1334-31 du Code de la Santé Publique qui distingue également les animaux des choses, ou des traités européens qui reconnaissent expressement la sensibilité des animaux.
Un problème pour les juristes
Pour le juriste, cela pose un véritable problème de fond. En effet, notre droit est l'héritier de la partition stricte entre personnes et choses qu'avait opérée le droit romain, avec les Institutes de Gaius. Or, cette distinction ne connaît pas de catégorie intermédiaire. Aussi les esclaves furent-ils considérés comme des choses à Rome, et longtemps après, en Occident, jusqu'à l'abolition de l'esclavage. Mais on leur avait aussi reconnu le droit à certains égards, tenant à leur propre intérêt, ce qui est contradictoire avec la notion même de chose ce dont on peut disposer.
Aujourd'hui, les animaux sont dans la même situation que les esclaves à Rome : ni tout à fait des choses, puisqu'ils sont protégés pour eux-mêmes dans une certaine mesure, ni tout à fait des personnes, puisqu'ils ne jouissent pas d'une protection intégrale se manifestant en particulier par le respect de leur intégrité corporelle, c'est-à-dire par un droit à la vie.
Nous sommes très loin d'un tel droit, mais tout aussi loin de l'archaïsme du statut civil actuellement en vigueur. D'où diverses propositions, allant d'une personnalité juridique à celle, moins ambitieuse mais peut-être plus atteignable, de l'extraction de la catégorie des choses pour une nouvelle catégorie créée spécialement pour les animaux.
Hollande doit saisir l'opportunité
Ces propositions ne révolutionneront sans doute pas la condition animale et les auteurs de cet appel en sont bien conscients. Mais cela aura au moins pour mérite, d'un point de vue symbolique, de favoriser une meilleure considération des animaux, en accord avec un sens commun qui sait faire la distinction entre un chien, par exemple, et une chaise.
C'est à cette évidence que s'opposent la FNSEA et la Fédération nationale des chasseurs, fermement opposées à toute reconnaissance du caractère sensible de l'animal. Nous verrons si, face à ces lobbies, François Hollande, qui s'était engagé à accomplir cette réforme, saura faire preuve de constance, ou s'il suivra les traces de son prédécesseur, qui s'y était opposé.
Il lui revient de saisir l'importance de la question animale et l'opportunité de la faire évoluer à moindres frais, puisqu'aucun intérêt économique ne serait dérangé par cet aménagement. D'une certaine manière, la réforme du statut civil de l'animal est aussi une chance pour les politiques.
Pétition en ligne :
La chirurgie esthétique a trouvé une nouvelle cible : nos yeux
A New-York, Lucy Luckayanko s’est faite implanter un bijou en platine en forme de cœur sur le globe oculaire. C’est le Dr Emil Chynn, directeur médical de "Park Avenue Laser Vision" qui a placé cet implant appelé Safesight, dans l'oeil de la patiente. Il faut compter tout de même 3000$ pour l' opération et 1000$ de plus pour le changer.
Lucy Luckayanko raconte son implantation dans l'oeil, Le docteur a d’abord injecté un anesthésiant dans l’oeil puis il a fait une petite incision pour créer une poche entre la partie sclérotique (blanche) et la partie conjonctive (claire) de l’oeil. Le petit coeur a ensuite été déposé dans la poche et l’opération n’a duré au final que quelques minutes.
D'après le Dr Chynn, cette pratique aurait déjà fait des centaines d'adeptes en Europe et à Los Angeles, mais jamais à New York. Mme Luckayanko était sa première cliente. Même si cela peut paraître effrayant, le Dr Chynn insiste sur le fait que le procédé ne présente pas de risque de cécité. Seul un saignement local ou une infection à traiter aux antibiotiques peuvent se présenter.
Cet un chirurgien hollandais de Richmond EyeAssociates qui aurait inventé ce type d'implantation en 2004.
Pour le Dr Chynn, il ne voit aucun danger pour cette intervention. "C’est un morceau très mince de platine qui est conçu spécialement pour l’insertion sur le dessus de l’œil, cela reste en surface et ne pénètre pas à l'intérieur de l'oeil, il n’y a donc pas de risque de cécité ou autre, dit-il." Pratique controversée Dans une déclaration à Fox 5, le corps médical dit qu’il n’a pas suffisamment de recul et de preuves pour étayer l’innocuité ou d'une quelconque valeur thérapeutique pour cette procédure. Il exhorte les consommateurs à la méfiance et les dissuade fermement de suivre cette méthode. Wayne Bizer, un ophtalmologiste de Ft.. Lauderdale, en Floride, m'est en garde : «Mon inquiétude est que cela peut provoquer des granulomes infectieux sur le corps étranger ou le tissu cicatriciel. L’implant pourrait également permettre aux bactéries de se tenir en dessous de la conjonctive provoquant une infection grave menaçant la vision ou éventuellement érodent la sclérotique, la partie blanche de l’œil.
Découvrez toute l'horreur de l'industrie de la fourrure de lapin
Les investigateurs de CAFT ont enquêté pendant 2 ans dans les principaux pays producteurs de fourrure de lapins (Italie, France et Espagne), ainsi qu’au Danemark. Ils ont visité aussi bien les élevages que les abattoirs, ou encore les tanneries.
Les lapins vivent enfermés dans des cages grillagées, avant de rejoindre l’abattoir. Les mères sont en gestation quasi permanente. Tout est calculé pour une rentabilité maximale : taille des cages, quantité de nourriture, durée d’engraissement, durée de vie des mères...
Pour les éleveurs, ce ne sont plus des animaux, mais de futurs accessoires de mode ou garnitures de vestes. Leur bien-être n’est pas pris en compte. Seule la crainte des épidémies, favorisées par les élevages concentrationnaires et qui entraîneraient de grosses pertes financières, pousse les éleveurs à faire en sorte que les lapins puissent partir vivants à l’abattoir. La mortalité dans les élevages de lapins atteint couramment 20% !
Des enquêteurs ont notamment pu visiter en France un élevage et l’unique abattoir de lapins, dont la fourrure est utilisée dans l’industrie du luxe.
Une vidéo longue version est téléchargeable sur le site de CAFT dédié à la fourrure de lapins
Les lapins en France pour l'industrie du luxe
La filière très fermée des lapins peut enfin être révélée au public. Les enquêteurs ont pu visiter l’un des élevages en France où sont élevés ces lapins, ainsi qu’un abattoir.
Les lapins vivent dans des cages grillagées, comme dans les autres élevages qui ont été visités durant cette enquête.
Les lapereaux sont très vite séparés de leur mère, qui est en gestation quasi-permanente.
Les lapins y restent environ 20 semaines, avant de partir à l’abattoir, qui abat également des lapins provenant d’autres élevages.
Pétitions en ligne :
http://action.peta.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=5&ea.campaign.id=23870&forwarded=true
Video
Enquête complète et images
http://alf.front.liberation.animal.over-blog.com/categorie-11697870.html
Des cercueils hors du commun aux formes insolites et aux couleurs chatoyantes
En Afrique, le rapport à la mort est fort différent d’ici et les enterrements sont de véritables fêtes, et la beauté du cercueil en est l'un des ingrédients essentiels.
A cet égard, l’artiste ghanéen Paa Joe, qui a appris à sculpter grâce à son oncle alors qu'il n'avait que 12 ans, réalise de magnifiques cercueils aux couleurs chatoyantes en forme d’animaux, de véhicules ou de... piment rouge. Le résultat final, fruit de centaines d’heures de travail, vaut un coup d'œil qui n'a rien de morbide.
http://www.tuxboard.com/cercueils-paa-joe-insolites/cercueils-paa-joe-3/
Pas très catholique
Direction Dixon, dans l’Illinois, pour un fail venu du ciel. Littéralement. Dans cette charmante localité, naguère habitée par feu le président Ronald Reagan, la nouvelle église de la Science Chrétienne a une forme plutôt… inhabituelle.
Via Google Earth, un petit malin s’est rendu compte que la bâtisse ressemblait tout simplement à un sexe masculin, vu d’en haut, et a partagé la photo sur le site Reddit pour rire de la bévue de l’architecte. Une action bien peu charitable…
Pour la petite histoire, la forme un peu particulière du bâtiment trouve son origine dans une volonté de ne pas abattre un chêne, situé au centre du terrain sur lequel a eu lieu la construction.
Deux heures de voyage entre ciel et terre
Le voyage stratosphérique en ballon a le vent en poupe. Quelques mois après l’annonce de l’ambitieux projet de la société Zero2Infinity, c’est aujourd’hui une start-up américaine pariant sur l’attrait du tourisme spatial aux Etats-Unis qui propose de transporter des passagers dans l’espace à l’aide d’un ballon gonflé à l’hélium. Ce dernier pourrait atteindre jusqu’à 30 km d’altitude.
World View Entreprise, le nom de la firme en question, offre pour la somme de 75 000 dollars (54 000 euros) le billet cette ascension en douceur dans une nacelle pressurisée de huit places. Les passagers pourront rester dans les cieux pendant deux heures et ainsi profiter d’une vue imprenable sur notre planète et l’espace avant que la capsule ne soit détachée du ballon et revienne sur le sol, freinée par un parachute qui la fera planer avant de se poser en douceur.
"Les passagers seront parmi le petit nombre à voir la courbure terrestre et avoir une vue saisissante de la planète, de l'obscurité de l'espace, de l'éclat des étoiles et du voile fin de l'atmosphère enveloppant la Terre" annonce la société dans un communiqué qui précise que les premiers vols s’effectueront d’ici trois ans. L’autorité américaine de l’aviation civile, la Federal Aviation Administration, a décidé de considérer la capsule de World View comme un véhicule spatial, indique une lettre de l’agence fédérale publiée mardi par la société.
Techniquement l’espace commence à partir de cent kilomètres, une altitude à partir de laquelle un vol aérodynamique n’est plus possible compte tenu de l’absence d’atmosphère.
"Voir la Terre suspendue dans le vide de l'espace....va sûrement faire vivre à nos clients une expérience de nature à changer leur existence" juge quant à elle Jane Poynter, PDG de World View et co-fondatrice de Paragon Space Development, qui a mobilisé les investisseurs pour créer cette nouvelle société. Malgré tout, World View ne sera pas la première entreprise à offrir la possibilité aux touristes de visiter la stratosphère. La société Virgin Galactic, créée par le milliardaire britannique Richard Branson, prévoit en effet d’embarquer des passagers pour des vols à cette altitude suborbitale dès 2014. Ces voyages se feront toutefois à bord d’un avion fusée appelé SpaceShipTwo.