Qui a dit que faire la cuisine ne pouvait pas être physique !

12/02/2014 23:31 par sweet-cherry

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    Qui a dit que faire la cuisine ne pouvait pas être physique !

    12/02/2014 23:31 par sweet-cherry

La face cachée du Téléthon : les chiens cobayes

12/02/2014 01:49 par sweet-cherry

  • La face cachée du Téléthon : les chiens cobayes

    La face cachée du Téléthon : les chiens cobayes

    12/02/2014 01:49 par sweet-cherry

AFM expérimentation animale

C'est peu connu,mais une partie des dons versés au Téléthon finance la recherche sur les chiens. Le Téléthon a déjà fait l'objet de polémiques quand à l'utilisation médiatique des enfants malades ou encore la gestion des fonds récoltés, mais rarement concernant la recherche que l'AFM Téléthon finançait. Une partie de cette recherche utilise en effet, comme de nombreuses unités de recherche, des animaux de laboratoire, pratiquant ce qu'il est communément appelé l'expérimentation animale.

Lire la suite et signer la pétition en ligne :

http://www.mesopinions.com/petition/animaux/experimentation-animale-chiens-cobayes-face-cachee/11328

 

Dans la plupart des cas, l'idée qu’il faudrait choisir entre des animaux et des humains est un faux dilemme. Une immense partie des expériences faites sur les animaux ne concerne pas la recherche sur des maladies, mais la toxicologie, les cosmétiques, les solvants, les colorants, et les armes chimiques et bactériologiques. La recherche sur les médicaments concerne souvent de nouveaux produits, dont la création n’est faite qu’à des fins commerciales.

 

Reportage dans le chenil où ont lieu les expérimentations

Article complet du Nouvelobs paru le 03.12.2013

Le Téléthon a déjà fait l’objet de polémiques quant à l’utilisation médiatique des enfants malades ou encore la gestion des fonds récoltés, mais rarement concernant la recherche que l’AFM Téléthon finançait. Une partie de cette recherche utilise en effet, comme de nombreuses unités de recherche, des animaux de laboratoire, pratiquant ce qu’il est communément appelé l’expérimentation animale

Les mouvements de protection animale, dont des associations spécifiquement anti-vivisection comme le CCE2A ou International Campaigns, connaissent une ampleur certaine depuis 2009-2010 qui n’a pas échappé aux organisateurs du Téléthon.

Accusé par ces associations de « financer la vivisection », le Téléthon a choisi de reconnaître officiellement que la recherche qu’il finançait était parfois amenée à utiliser des animaux, tout en soulignant le strict respect de la législation en vigueur.

Mais cette concession médiatique, grâce à laquelle l’AFM a pu démentir toute expérimentation occulte, ne s’est pas traduite par une véritable information transparente. En réalité, il est quasiment impossible d’en savoir plus sur ces animaux utilisés par la recherche que finance le Téléthon : quelles espèces ? En quelle quantité ? Pour quels protocoles ? A la conférence de presse de la dernière édition du Téléthon, un malaise non dissimulé face à ces questions m’avait déjà interpelée.

Les chiens myopathes, ces invisibles

Après plus de deux mois d’intenses échanges, j’ai enfin pu approcher les fameux chiens myopathes qui servent à la recherche sur la myopathie de Duchenne. Les associations de protection animale connaissent leur existence, mais possèdent très peu d’informations sur le traitement qui leur est réservé.

Sur le site du laboratoire qui les utilise, seules quelques photos des membres du laboratoire avec un chien dans les bras sont présentes [nous n’avons pas souhaité nommer le labo pour ne pas exposer son personnel à d’éventuelles attaques personnelles, hélas courantes, ndlr].

Le choix de cette absence de communication est simple : « Vous comprenez, on ne peut pas montrer ça aux gens », m’explique un animalier, alors que je rentre pour la première fois dans le chenil des chiens myopathes, situé dans l’un des bâtiments de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort.

Montrer comment s’effectue la recherche irait à l’encontre même des objectifs du Téléthon et surtout de sa méthode : l’impact émotionnel. Les chiens ne peuvent plus s’alimenter, et vivent donc avec une sonde pour être nourris, ils ont des difficultés respiratoires et motrices très lourdes. Certains chiots ressemblent déjà à des robots et ne font quelques pas qu’au prix d’un essoufflement accablant. Cette réalité occultée par l’AFM Téléthon, dont les affiches sont présentes dans les couloirs du chenil, est très dure à supporter.

J'aimerais pas être à leur place

Les associations de protection animale n’ont donc pas tort : une partie des dons sert effectivement à financer l’expérimentation animale. A la question « les animaux souffrent-ils ? », l’un des praticiens m’avoue sans détour, sur le ton de l’humour :

-  « Je peux vous dire que j’aimerais pas être à leur place ! »

Certains chiens du chenil ne subissent aucune expérience particulière et servent simplement de témoins : on constate sur eux l’évolution et le déploiement de la maladie.

Ces chiens font partie du « protocole histoire naturelle ». Pourquoi continuer d’observer des témoins malades ? Parce qu’il y a « autant de types de myopathies que d’individus », et que la connaissance de la maladie requiert une observation constante d’individus malades différents.

Cette souffrance créée et non soulagée fait partie des aspects dénoncés par les associations de protection animale, qui soulignent l’inutilité de ces protocoles pour une maladie dont l’évolution sans traitement est bien connue.

Un élevage de chiens destinés aux labos

Dans le chenil des chiens myopathes de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort, on ne soigne pas, on reçoit des animaux génétiquement modifiés pour naître myopathes sur lesquels on teste différents protocoles. D’où viennent-ils ? D’un élevage qui fait beaucoup parler de lui depuis 2010 : le CEDS, le Centre d’élevage du domaine des Souches, situé à Mézilles, un petit village de l’Yonne.

Depuis 2010, chaque année, une manifestation regroupant associations et militants dénonce cet élevage de chiens destinés aux laboratoires, et accusé de maltraitance dans ses locaux, entre autres à la suite d’un témoignage, devant la justice, d’un ex-employé aujourd’hui décédé.

En 2010, les manifestants étaient 400, en 2012 ils étaient plus d’un millier, faisant surgir dans les médias l’existence de cet élevage familial jusqu’alors peu connu. Un site internet dédié à la fermeture de cet élevage a même été créé. Monique et Michel Carré, propriétaires de cet élevage, ont radicalement refusé de répondre à mes questions.

La responsable de l’expérimentation animale de la DDCSPP (Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations) de l’Yonne a, elle, sèchement coupé court à toute communication.

La face cachée du Téléthon : les chiens cobayes (suite)

12/02/2014 01:48 par sweet-cherry

  • La face cachée du Téléthon : les chiens cobayes (suite)

    La face cachée du Téléthon : les chiens cobayes (suite)

    12/02/2014 01:48 par sweet-cherry

"C'est pour la bonne cause"

Le leitmotiv des chercheurs que j’ai pu rencontrer est l’incompréhension du grand public pour leur travail. « On craint surtout les intégristes : ils détournent les images et les propos », m’assure un animalier.

Le durcissement de la législation européenne portant sur l’expérimentation animale et le renforcement de la médiatisation de ses pratiques douloureuses ont provoqué un repli draconien des chercheurs. Les laboratoires utilisant des animaux sont devenus impénétrables pour qui n’y travaille pas : « Moins on en parle, mieux c’est », me confirme un animalier.

Pour éviter certaines attaques militantes, le laboratoire Sanofi ne détient plus de primates. Il sous-traite ces expériences à des instituts de recherche publics, m’indique un chercheur du centre de recherche de l’Institut du cerveau et de la moelle épinière, situé à La Pitié-Salpêtrière.

Un jeune animalier m’explique que sa famille ou ses proches n’ont jamais apprécié son métier. Il se désole :

- « Le problème, c’est que les gens sont bien contents après que la recherche fasse des progrès, et nous on a juste le mauvais le rôle ! Maintenant, je ne précise plus que je travaille dans un laboratoire : quand on me demande ce que je fais, je dis juste que je suis animalier. »

Position d’autant plus difficile pour ces animaliers qui avouent à la base avoir choisi ce métier par amour des animaux...

« Evidemment, ce n’est jamais facile de les voir souffrir, ou même de les euthanasier, mais on se dit que d’autres arrivent ensuite. Et puis c’est pour la bonne cause. »

Se passer de la recherche sur les animaux 

L’expérimentation animale est parfois remise en question pour des raisons scientifiques (la transposition du modèle animal au modèle humain s’avère plus que problématique, voire parfois dangereuse pour la santé humaine), mais ce n’est pas le cas ici de la myopathie de Duchenne, « présente naturellement sur les labradors dans une forme très proche de celle qui affecte l’homme », m’explique-t-on.

Les associations de protection animale dénoncent les abus de protocoles utilisant des animaux qui pourraient faire usage des méthodes alternatives sans animaux.

Pourquoi ne pas changer de méthodes lorsque cela est possible ? Selon les chercheurs sur la myopathie :

« Rien ne remplacera jamais la complexité d’un organisme vivant. »

Pourtant, d’autres scientifiques m’ont confié une raison moins avouable, comme l’explique un neurobiologiste :

« On préfère continuer de faire comme on sait faire, avec des modèles vivants, comme on a toujours fait. C’est la vieille méthode qui marche, disons. C’est triste, mais la peur du changement est réelle. »

La reconnaissance de ces animaux invisibles

La collusion entre tous les acteurs de l’expérimentation animale est aussi pointée du doigt par les associations de protection animale. Avant d’obtenir le droit d’expérimenter sur des animaux, les équipes de chercheurs doivent soumettre à des comités d’éthique leur protocole : ce dernier est chargé d’appliquer le principe des « 3R » (réduire, raffiner, remplacer), qui a été mis en place pour éviter l’utilisation d’animaux quand celle-ci peut être évitée. Mais les membres de ces comités sont des chercheurs et, surtout, les protocoles sont pratiquement systématiquement validés. On m’a même attesté que les protocoles commençaient souvent parfois avant d’avoir l’aval des comités, « pour des raisons de délais trop longs ».

Dernier point noir : celui de la reconnaissance des ces animaux invisibles. Les chiens myopathes en sont le meilleur exemple. Confinés dans des animaleries qui ressemblent à des bunkers, ils vivront sans voir la lumière du jour, dans des cages souvent situées en sous-sol, subissant des expériences quotidiennes avant d’être euthanasiés. Les malades, premiers concernés par la recherche, ont eux-mêmes rarement connaissance de ces animaux, qui font pourtant partie des premiers acteurs de la recherche.

Il ne s’agit pas de devoir choisir entre des vies humaines et des vies animales mais déjà de montrer au grand public ce que l’on fait, dans quelles conditions et quel est le prix à payer pour la recherche.

L’association de réflexion sur la maladie de Huntington, Ding Ding Dong, a en ce sens entrepris un projet pour que les malades puissent rendre hommage en quelque sorte aux animaux « sacrifiés » (c’est le terme scientifique) pour la recherche. Une piste pour Le Téléthon ?

Rumeurs !

12/01/2014 00:44 par sweet-cherry

  • Rumeurs !

    Rumeurs !

    12/01/2014 00:44 par sweet-cherry

Un pick up qui ne laisse pas de glace

12/01/2014 00:15 par sweet-cherry

  • Un pick up qui ne laisse pas de glace

    Un pick up qui ne laisse pas de glace

    12/01/2014 00:15 par sweet-cherry

Une pub vraiment givrée

Voici le Ice Truck, un pick up donc la carrosserie est entièrement faite de glace. C'est pour les besoins d'une pub visant à promouvoir la résistance aux basses températures  -40°C de sa batterie de voiture, que l'entreprise canadienne The Canadian Tire a fait appel aux sculpteurs de glace de Ice Culture.

 

"C'est probablement un des plus grands challenges que nous avons dû relevé", a confié Heidi Bayley, la présidente de Ice Culture au journal Toronto SunIl faut dire que le Ice Truck pèse plus de 6 tonnes (dont 5 tonnes de glace) et a été conçu de manière à éviter que la chaleur du moteur ne fasse fondre la carrosserie.

 

Si vous vous demandez si le pick up fonctionne, la réponse est oui. Peu après la pub, le Ice Truck a été testé sur route (voir vidéo ci-dessus). Même s'il ne roule pas très vite (20 km/h), il a réussi à parcourir un mile, soit 1,6km.

Véhicule éphémère, le Ice Truck a depuis fondu. L'opération qui a pris plus de 40 heures et a été entièrement filmée par The Canadian Tire.

Démesure gastronomique 1/2

09/01/2014 02:57 par sweet-cherry

  • Démesure gastronomique 1/2

    Démesure gastronomique 1/2

    09/01/2014 02:57 par sweet-cherry

Quelques plats et desserts parmi les plus chers du monde

A l’heure où la crise ronge l’économie mondiale et où des dizaines de millions de personnes souffrent de famine dans le monde, d’autres n’ont plus trop d’idées pour dépenser leur surplus d’argent… Heureusement, certains chefs restaurateurs sont là pour leur venir en aide en composant les plats les plus chers du monde ! Si vous êtes un riche gourmet à court d’inspiration, voilà quelques idées de petites folies à essayer :

Les "Fraises Arnaud" : 3.95 millions de dollars

Le restaurant "Arnaud’s Restaurant" situé en Nouvelle Orléans place la barre vraiment très haute avec ses fraises à près de 4 millions de dollars. Des fraises toutes fraîches préparées au vin rouge, aux épices et citron surmontée d'une boule de glace vanille… La raison d'un tel prix est une bague en or sertie de diamants roses et blancs de 7.09 carats déposée délicatement sur le dessert.

Le gâteau Platinum : 130 000 $

Ce gâteau décoré de colliers de platine a été créé par Nobue Ikara, un pâtissier de renom au Japon, inspiré par les belles femmes comme Rinko Kikuchi et Chie Kumazawa, une façon pour lui de rendre hommage à leur beauté et encourager les femmes à porter davantage de bijoux.

Un burger : 5000 $

A ce prix là, ce sandwich remporte la palme du burger le plus cher au monde. Vendu exclusivement dans le restaurant français Fleur de Lys de l’hôtel Mandalay Bay, à Las Vegas, il faut avoir une sacré faim et un porte monnaie bien rempli pour tenter l’expérience. Tout d’abord, du pain brioché aux truffes, pas de steak, du boeuf de Kobe, meilleure viande au monde (un boeuf nourri à la bière, massé au Saké, et qui écoute les plus grands tubes de musique classique…), le tout surmonté d’un foie gras poêlé, arrosé d’une sauce aux truffes avec un accompagnement de truffes noires et de frites et pour arroser le tout un Château Petrus est compris dans le prix !

La Pizza Royale 007 : 4200 $

Cette pizza est composée de produits les plus nobles, caviar mariné au  Dom Perignon, saumon fumé d'Ecosse, homard au cognac, médaillons de chevreuil, jambon cru haut de gamme, vinaigre balsamique et quelques feuilles d'or 24 carats comme garniture.

Sushis les plus chers du monde : 1.978 $

Le Chef Angelito Araneta Jr alias Karat chef créé des sushis uniques à Manille avec des feuilles d’or 24 carats et des petits diamants. Vous ne pourrez manger que 5 sushis, prévu dans la commande pour ce prix.

Un menu japonais à 174 000 euros

Au restaurant Takashimaya de New York. vous pouvez déguster un Oscheriyori, mélange de légumes, de sushis et de sashimis que vous trouveriez dans n’importe quel japonais près de chez vous. Mais il y a une explication presque rationnelle à cette addition vertigineuse : le plat, au sens propre, coûte très cher. L’Oscheriyori est en effet servi dans un plat carré en or massif de 3,3 kg, que le client peut bien sûr ramener chez lui.

Démesure gastronomique 2/2

09/01/2014 02:27 par sweet-cherry

  • Démesure gastronomique 2/2

    Démesure gastronomique 2/2

    09/01/2014 02:27 par sweet-cherry

Le curry le plus cher du monde : 3200 $

Le "Samundri Khazana Curry" de la "Bombay brasserie" de Londres est un poisson au curry accompagné d’ormeau, de crabe, de caviar,d’un homard (dont la coquille est plaquée d’or comestible), de truffes blanches, de morilles et de riz parfumé au safran.

La pizza la plus chère du monde :

La pizza la plus chère du monde se trouve chez "Nino’s Bellissima Pizza", une pizzeria de New York. Elle est constituée d’une base de crème fraîche, de 4 sortes de caviar, d’oeufs de saumon, de queues de homard et de plusieurs sortes de wasabi. Le restaurant qui en vendait plusieurs par semaines n’en vend plus qu’une ou deux par mois… Crise oblige !.

Un hot-dog : 100$

Le Dragon Dog chez DougieDog Hot Dogs amputera votre portefeuille de 100$, mais il promet d'exciter vos papilles gustatives puisque la saucisse Bratwurst de 30 centimètres de longueur est marinée dans le cognac Louis XIII de Rémy Martin, qui a vieilli pendant 100 ans et dont la bouteille se vend 2000 $ l'unité. Du boeuf Kobe cuit dans une huile d'olive et de truffes ainsi que de la viande de homard, le tout servi avec une sauce épicée, assaisonnent le hot-dog. En raison des saveurs qu'il procure, le Dragon Dog est décrit par ses créateurs comme un «12 pouces de décadence culinaire absolue».

Un bol de soupe de nouilles : 324$

Dans le petit restaurant de 40 places "Niu Ba Ba" situé à Taipei (Taïwan), il existe un bol de ramen à 324 dollars, soit 10 000 dollars taïwanais. Le chef ayant fixé un pareil prix après un sondage réalisé auprès des célébrités locales, il agrémente alors sa soupe de bœuf importé de 4 pays différents qu’il coupe sur mesure. La soupe finale est un mélange de six soupes différentes, chacune distillée à partir d’une partie différente du bœuf.

L'omelette la plus chère du monde :1000$

Au restaurant "Norma’s" situé à New York, l’omelette "Zillion-Dollar Frittata". Elle se résume à des oeufs brouillés, du homard et 10 grammes de caviar d’esturgeon.

Le Le sandwich le plus cher du monde :197$

Disponible au restaurant "The Cliveden's Waldo" à Berkshire (Royaume-Uni). Le "Von Essen Platinum Club Sandwich" se compose de trois étages, contenant le poulet le plus raffiné, du jambon, des oeufs de caille durs et des truffes blanches. Ce sandwich contient près de 2000 calories...

La part de gâteau la plus chère du monde : 1000$

Servi au Palais Ciragan à Istanbul, le "Sultan's Golden Cake" est, pour peu dire, un dessert vraiment spécial… Sa préparation nécessite 72 heures. Il contient des figues, des coings, ainsi que des abricots et poires ayant trempé dans du rhum jamaïcain pendant 2 ans. La garniture est constituée de caramel, de truffes noires et, comme vous l’aviez probablement constaté, de feuilles d’or. Pour résumer, un dessert du genre discret.

L'oeuf poché le plus cher du monde : 100$

Si vous allez au restaurant "Toqueville" de New York, vous pourrez y trouver un oeuf poché, issu d’une poule Araucana. La raison de son prix étant sa généreuse garniture de truffes fraîches du Périgord.

Le plat de pâtes le plus cher du monde : 95$

L’assiette de "Macaronis and cheese" du restaurant Mélisse à Santa Monica en Californie. Le prix surélevé étant une nouvelle fois dû aux truffes : mousse de truffe, beurre de truffe, truffe blanche… Le plat est uniquement servi d’octobre à décembre, la saison de la truffe blanche.

Je veux des vacances au soleil !

19/12/2013 23:58 par sweet-cherry

  • Je veux des vacances au soleil !

    Je veux des vacances au soleil !

    19/12/2013 23:58 par sweet-cherry

Voilà un prototype plutôt séduisant !

19/12/2013 23:54 par sweet-cherry

  • Voilà un prototype plutôt séduisant !

    Voilà un prototype plutôt séduisant !

    19/12/2013 23:54 par sweet-cherry

Un concert en igloo sur instruments de glace

19/12/2013 22:34 par sweet-cherry

  • Un concert en igloo sur instruments de glace

    Un concert en igloo sur instruments de glace

    19/12/2013 22:34 par sweet-cherry

Des concerts vraiment givrés

Concept osé et rafraîchissant, les concerts Ice Music qui seront prochainement donnés en Laponie suédoise à partir du mois de décembre auront lieu dans un igloo assez grand pour abriter 160 spectateurs. Afin de rendre la chose encore plus étonnante, tous les instruments utilisés par les musiciens seront entièrement composés de glace.

A Luleå cet hiver, la saison froide risque de ravir les mélomanes et les grands amateurs de froid polaire. En effet dès le 26 décembre et le 6 avril prochain, cette ville de Laponie suédoise va résonner de dizaines d’instruments de musique utilisés par des musiciens qui viendront donner des concerts dans un igloo. Mais ce n’est pas tout. Poussant le concept jusqu’au bout, les organisateurs de cet événement ont imaginé créer des instruments de musique au temps de vie limité puisque entièrement constitués… de glace !

 

Ainsi, pour éviter que les instruments de musique ne fondent durant le temps de la représentation, les organisateurs de ces concerts polaires ont prévu de maintenir la température de "la pièce" à -5°C en créant un trou d’aération au sommet de l’igloo dans le but de permettre à la chaleur dégagée de pouvoir être évacuée. Autre précaution prise pour éviter que les instruments ne se liquéfient durant le concert : les instruments comme les violons sont dotés de protections en plastique évitant ainsi que la chaleur renvoyée par l’haleine des musiciens ne les altèrent. "S’il fait trop froid, les instruments peuvent se briser, s’il fait trop chaud, ils fondent", explique Karin Åberg, du festival Ice Music, au site The Local.

Pour venir assister à ces concerts exceptionnels en dehors du coût du billet d’avion pour se rendre déjà sur les lieux, il faut débourser la somme de 32 euros. il vous suffit ensuite de profiter d’un spectacle magique qui mêlera musique traditionnelle ainsi que contemporaine allant "du folk à Lady Gaga".

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