Motorola imagine des pilules et des tatouages pour remplacer les mots de passe

10/06/2013 21:36 par sweet-cherry

  • Motorola imagine des pilules et des tatouages pour remplacer les mots de passe

    Motorola imagine des pilules et des tatouages pour remplacer les mots de passe

    10/06/2013 21:36 par sweet-cherry

Nos mots de passe seront gravés dans notre chair

Lors de la conférence "All things digital" de San Francisco, Motorola a présenté deux prototypes : un tatouage et une pilule pour se connecter à ses appareils.

Un mot de passe pour les mails, un autre pour l'ordinateur du travail ou le compte sécurisé d'un site d'achat. Un code pour la carte bleue, pour le digicode de la porte, débloquer le téléphone ou bien entrer la voiture dans le garage, quand il ne faut pas en retenir plusieurs pour accéder à un seul site : notre vie semble ne plus être qu'une succession de chiffres à mémoriser et source de multiples mots de crâne. Motorola a peut-être trouvé la solution : un mot de passe intégré dans le corps.

Ce n'est ni la dernière promesse d'un film de science-fiction ni une idée farfelue lancée par un professeur Tournesol lambda, mais bel et bien une découverte sérieuse présentée lors de la conférence "All Things digital" de San Francisco, jeudi dernier. Il s'agit d'une pilule ronde et plate à avaler qui contient une puce miniature. Rien qui ne la différencie d'un cachet traditionnel. Mais une fois ingérée, celle-ci va émettre un signal d'authentification qui permettra à n'importe quel appareil de vous identifier (ordinateur, tablettes, smartphones, etc...). Pas de danger pour votre corps, la puce ne contient aucune batterie. Baptisée "vitamine d'authentification", elle tirerait son énergie des acides contenues dans l'estomac pour transformer le corps en mot de passe géant. Elle a même déjà été approuvée par l'agence américaine des produits alimentaires. Reste à savoir si sa prise serait quotidiennement ou unique.

Un tatouage code-barres pour s'identifier

Mais ce n'est pas la seule innovation que Regina Duncan, chef des projets spéciaux chez Motorola, a présenté à son auditoire californien. La marque détenue par Google a également s'est présentée avec un tatouage életronique très particulier sur l'avant-bras. Une sorte de code-barres qui permettrait de ne plus oublier ses mots de passe grâce à un système de capteurs et d'antennes qui détectent votre smartphone. Pour télécharger une application, il suffirait alors de l'approcher de l'appareil. Plus de risque de faute de frappe dans les codes les plus retors. Pas d'inquiétude, le prototype présenté ressemblait davantage à un sticker qu'à un tatouage à vie.

Alors que les entreprises multiplient les tentatives pour protéger la vie privée et sécuriser les données sur Internet, la technologie continue de s'ancrer un peu plus dans nos vies et peut-être bientôt dans nos corps. Les plus réticents à cette invasion technique digne des romans futuristes, plus modernes que jamais, n'ont pas fini de s'inquiéter.

En savoir plus sur :

http://moutonsmomin.blogspot.ch/2010/09/rfid-micro-puce-implantables.html

Tarif affiché !

09/06/2013 01:14 par sweet-cherry

  • Tarif affiché !

    Tarif affiché !

    09/06/2013 01:14 par sweet-cherry

Raison ou sentiments ?

09/06/2013 00:58 par sweet-cherry

  • Raison ou sentiments ?

    Raison ou sentiments ?

    09/06/2013 00:58 par sweet-cherry

Le tuteur de Paris Jackson payé 9000 $ à ne rien faire ?

08/06/2013 23:50 par sweet-cherry

  • Le tuteur de Paris Jackson payé 9000 $ à ne rien faire ?

    Le tuteur de Paris Jackson payé 9000 $ à ne rien faire ?

    08/06/2013 23:50 par sweet-cherry

Le geste de Paris Jackson serait un appel au secours

Le Service de protection de l’enfance est outré : le cotuteur de Paris Jackson, son cousin TJ, 34 ans, appointé en juillet après la mystérieuse fugue de sa tutrice et grand-mère Katherine Jackson, 83 ans, ne s’occuperait plus des trois enfants de Michael Jackson. C’est la découverte faite durant l’enquête ouverte après la tentative de suicide de Paris, révèle le «Daily Mail». En réalité, TJ (ndlr : Tito Joe de son vrai prénom est le fils de Tito, frère de Bambi) ne vit même pas près d’eux. Lors de sa nomination en tant que tuteur il résidait à Calabasas, en Californie, où grandissent Paris, 15 ans, Prince, 16 ans et «Blanket», 11 ans, avec leur grand-mère. Mais il y a déjà plusieurs mois que TJ a déménagé.

Photo

Tito Joe Jackson

TJ Jackson vit à deux heures de route de Calabasas et n’en aurait pas informé le Service de protection de l’enfance. Il touche 9000 $ mensuels pour être tuteur. Au début, il s’occupait des enfants quatre à cinq jours par semaine. «Donc nous avons une dame de 83 ans qui élève seule trois ados ?» se sont insurgés les inspecteurs, rapporte le «New York Post». Pourtant, un proche affirme que TJ passe régulièrement.

Mardi soir, Paris avait avalé 20 comprimés d’ibuprofène et s’était coupé un poignet avant d’appeler à l’aide. Elle a craqué suite à une énième dispute avec Katherine. Cette dernière lui avait interdit d’assister au concert de Marilyn Manson. Paris avait alors hurlé : «J’aimerais que mon papa soit ici. Lui, il me comprend!»

Photo

Blanket, Paris, Prince et leur grand-mère Katherine

Selon toute vraisemblance, Katherine Jackson devrait perdre la garde des enfants, qui vivaient, semble-t-il, sans réelle ambiance familiale, dans une maison pleine de gardes du corps. Un univers si sécurisé que même les cheveux de Paris étaient ramassés par ses gardes chez le coiffeur pour éviter qu’ils se retrouvent aux enchères. Rêvant de s’évader, Paris avait rempli une demande d’émancipation. Elle voulait vivre chez sa mère, Debbie Rowe, avec qui elle avait renoué en avril. Prince ne lui parlait plus à cause de cela. Par ailleurs, AEG, promoteur des derniers concerts de Bambi, menaçait de révéler, lors du procès que leur intente Katherine, le nom du vrai père de Prince et Paris. Un coup dur supplémentaire pour l’ado, déjà ébranlée par les récentes accusations de pédophilie portées contre Michael par un de ses amis.

Lors de son show jeudi à Los Angeles, Marilyn Manson a provoqué un tollé en dédiant une chanson à Paris, hospitalisée en psychiatrie, tout en feignant de se couper les veines avec un couteau. Le Dr Conrad Murray, incarcéré pour avoir tué Michael Jackson, a aussi choqué en lui envoyant ses vœux de rétablissement.

Ne t'emballe pas trop vite !

08/06/2013 23:35 par sweet-cherry

  • Ne t'emballe pas trop vite !

    Ne t'emballe pas trop vite !

    08/06/2013 23:35 par sweet-cherry

Google Street View !

08/06/2013 22:11 par sweet-cherry

  • Google Street View !

    Google Street View !

    08/06/2013 22:11 par sweet-cherry

Ghost Rider !

08/06/2013 21:50 par sweet-cherry

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    08/06/2013 21:50 par sweet-cherry

Le premier burger artificiel

08/06/2013 20:01 par sweet-cherry

  • Le premier burger artificiel

    Le premier burger artificiel

    08/06/2013 20:01 par sweet-cherry

Le premier burger à la viande artificielle

En ce mois de juin, un burger in vitro sera servi à Londres, pour la bagatelle de 325.000 dollars. Le procédé n’est pas totalement nouveau, mais sa commercialisation est une grande première.

Depuis plusieurs années déjà, des scientifiques s’essaient à créer toutes sortes d’aliments à partir de viande in vitro, c’est-à-dire de viande obtenue par la culture de cellules musculaires en laboratoire. Selon ces scientifiques, cette technique permettrait de subvenir à moindre coût aux besoins alimentaires d’une population grandissante et de plus en plus friande de viande tout en protégeant l’environnement.

Le Docteur Mark Post a souhaité pour sa part passer de l’expérimentation en laboratoire à la réalité de la consommation en faisant déguster son burger de luxe. Développé à partir de cellules musculaires de bœufs cultivés au sein d’un laboratoire, le burger sera servi agrémenté de sel et de poivre pour lui donner un peu de goût. Selon son créateur, il serait “plutôt bon”… A ce prix là, espérons que la viande soit tendre et goûteuse.

L’objectif de cette opération est de pouvoir financer la recherche puis la mise sur le marché de ce type de produits dont l’impact environnemental est sensiblement plus faible que les produits classiques que nous avons l’habitude de trouver dans nos assiettes. Les consommateurs en voudront-ils ? L’avenir nous le dira.

                    

Viande artificielle : une utopie alimentaire ?

Principale source de protéines animales pour l’homme, l’élevage fait l’objet de nombreuses critiques. La « production » d’animaux coûte plus à la planète que celle des végétaux. En dégageant du méthane, les vaches participent au réchauffement de l’atmosphère. On sait aussi que la viande peut être porteuse de nombreuses substances toxiques ou contaminantes (dioxines, pesticides, prions…), et qu’elle est suspectée d’augmenter les risques de cancer. Sans compter les conditions de vie souvent décriées des animaux destinés à l’abattage.

Face à toutes ces préoccupations climatiques, environnementales et éthiques, les nouveaux « écocitoyens » du monde sont incités à diminuer leur consommation de viande. Mais ils pourraient aussi être amenés à se tourner vers une viande entièrement produite en laboratoire. C’est ce qu’ont annoncé les chercheurs de l’équipe de Mark Post, de l’université de Maastricht, au dernier congrès de la Société américaine pour l’avancement des sciences qui s’est tenu à Vancouver.

Des cellules souches à la viande

Certains tissus vivants comme le sang ou les os contiennent des « cellules souches », des cellules capables de se régénérer. Les muscles contiennent également de telles cellules, baptisées « myoblastes ». Dans les années 1990, ces dernières étaient au cœur des recherches pour traiter les patients atteints de maladies musculaires. En leur transférant les myoblastes d’un donneur compatible, un muscle sain se reconstituait. Mais la technique était lourde, comparable à une greffe. Et face à son manque d’efficacité, elle a fini par être abandonnée.

Cependant, à l’université de Maastricht, aux Pays-Bas, des chercheurs ont eu l’idée d’utiliser ces mêmes myoblastes afin d’obtenir directement du muscle, autrement dit de la « viande in vitro » ou encore de la « viande artificielle »…

Prélevés sur un animal mort ou vivant (par biopsie), des extraits de tissu musculaire sont fractionnés, puis placés dans des boîtes de Pétri et recouverts de collagène. Leur milieu nutritif, en l’occurrence du sérum de cheval, est enrichi en facteurs de croissance, en nutriments énergétiques, en acides aminés, en hormones ainsi qu’en antibiotiques et en antifongiques afin d’éviter toute contamination.

Après une semaine d’incubation, les cellules souches se multiplient puis finissent par fusionner. Des dispositifs d’élongation leur permettent de se contracter et de se relâcher afin d’acquérir des caractéristiques similaires à celles des fibres naturelles. Au final : un amas de cellules incolores et insipides, des fibres musculaires, certes, mais sûrement pas de la viande !

 

Le goût de la viande est-il imitable ?

Jean-François Hoquette, directeur de recherche à l’Unité de Recherches sur les Herbivores de l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique), demeure sceptique : « La viande artificielle ne semble pas pour l’instant vouée à de grands développements. D’abord parce que ce qu’il est possible aujourd’hui de produire n’est guère qu’un agglomérat de cellules musculaires, ne ressemblant ni tout à fait à du muscle, ni tout à fait à un steak. D’autre part, parce qu’il est encore moins possible de le produire en très grande quantité pour nourrir des milliards d’êtres humains ! » Car les fibres musculaires seules ne peuvent donner qu’un tissu sans flaveur, ni jutosité, ni tendreté, ni couleur. Autant de qualités qui caractérisent la viande et sont définies par la présence, au sein du tissu de fibres musculaires, d’adipocytes, de capillaires sanguins et d’une trame conjonctive… Sans tous ces éléments, pas de viande saignante ou à point ! Autre point essentiel, cette viande de laboratoire manque de maturation. En effet, sitôt morts, les muscles d’un animal deviennent rigides. Et la viande met un certain temps avant de pouvoir être consommée : la « maturation » de la viande (ou attendrissage) dure habituellement plusieurs jours ou semaines chez le bovin, le temps que l’acide lactique et les enzymes musculaires parviennent à attendrir la viande afin de la rendre comestible… une biochimie subtile, qui dépend de l’évolution du pH de la viande et de la température de refroidissement de la carcasse, et qui va également influer sur le goût de la viande. Autre point essentiel, cette viande de laboratoire manque de maturation. En effet, sitôt morts, les muscles d’un animal deviennent rigides. Et la viande met un certain temps avant de pouvoir être consommée : la « maturation » de la viande (ou attendrissage) dure habituellement plusieurs jours ou semaines chez le bovin, le temps que l’acide lactique et les enzymes musculaires parviennent à attendrir la viande afin de la rendre comestible… une biochimie subtile, qui dépend de l’évolution du pH de la viande et de la température de refroidissement de la carcasse, et qui va également influer sur le goût de la viande.

Un steak durable ?

Pour pouvoir fabriquer de la viande synthétique, il est nécessaire de disposer… d’animaux, morts ou vifs, car l’approvisionnement en cellules souches musculaires impose de disposer de muscles d’animaux à biopsier. Bien sûr, à terme, la production de viande artificielle pourrait passer par des cellules souches embryonnaires, reproductibles à l’infini qui, parce qu’elles sont totipotentes, peuvent se différencier en tout type de cellules. Mais pour l'heure, aucun chercheur ne sait comment fabriquer un steak en dirigeant la prolifération infinie de ces cellules souches embryonnaires, prolifération qui risque par ailleurs d’être précurseur de cancer. Malgré tout, la viande synthétique suscite l’engouement du gouvernement néerlandais qui a alloué à l’équipe de Mark Post la somme de 2 millions de dollars dès 2005 pour mener à bien ses recherches. Un financement complété cette année par une subvention de 330 000 dollars provenant d'un donateur anonyme. Au final, il n'est pas sûr que la production de viande synthétique soit économiquement rentable. Ni que son empreinte écologique soit moindre, les usines de biotechnologie dépensant aussi de l’énergie pour fonctionner. L’association PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) a pour sa part promis en 2008 1 million de dollars à la première équipe qui parviendrait à mettre au point une viande synthétique indistinguable d’une vraie viande, d’ici le 30 juin 2012. Une somme que l’organisation pensait ne jamais avoir à débourser tant la viande synthétique semblait en 2008 relever de la science-fiction. Il n’en est plus de même aujourd’hui, même si, en l’état actuel des recherches, la viande in vitro est loin d’être consommable : bourrée d’antibiotiques et d’hormones, aucun consommateur soucieux de sa santé ne pourrait en vouloir...

Moins chère que la viande d'élevage ?

Sans même prendre en compte le coût de construction des laboratoires ni le coût du travail des chercheurs qui y travailleront, des estimations (*) ont tenté de chiffrer le coût de production de la viande synthétique. Selon ces estimations, 1 tonne de substrat permettrait d’obtenir 193 kg de viande in vitro. Le coût de la tonne de viande synthétique pourrait ainsi avoisiner les 3000 à 3500 euros… À titre de comparaison, le coût de production d’une tonne de viande de poulet de batterie est près de deux fois moindre (1880 €).

Adieu veaux, vaches, cochons ?

Peu à peu, les biotechnologies entrent dans le quotidien par la porte des supermarchés. La viande clonée s’y trouve déjà. Depuis 2008, cette dernière a fait son apparition sur le marché européen, sans qu’il y ait d’ailleurs de quelconque obligation d’étiquetage. En effet, la technique du clonage, comme celle de la fabrication synthétique ne repose pas sur un transfert de gène, et ne débouche pas sur un organisme génétiquement modifié.
 
Aujourd’hui, la promotion de la viande in vitro par les défenseurs des animaux ouvre un vrai débat de société. Depuis le néolithique, l’homme élève des animaux pour s’en nourrir, en échange d’une relation de protection et des soins qu’il leur prodigue. Certes, l’élevage traditionnel a parfois cédé la place à l’insoutenable industrie de la production animale. Pour autant, Jocelyne Porcher, sociologue à l’INRA, s’alarme de la facilité avec laquelle les biotechnologies parviennent à faire accepter leurs techniques, avec le soutien inconditionnel des associations de protection animale. La viande in vitro est en effet loin d’être une solution absolue : elle ne fait que pousser la chaîne de production de la viande au point ultime de sa rentabilité qui est de parvenir à se passer purement et simplement des animaux, et par là, à faire « préférer le “vivant” industriel à la vie, c’est-à-dire le vivant sans la vie ». Selon elle, le retour à l’élevage traditionnel suffirait, pourtant, à résoudre les problèmes éthiques liés à l’approvisionnement en viande. Mais il ne servirait pas la croissance des industries des biotechnologies...

SOS dépannage !

05/06/2013 00:25 par sweet-cherry

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    05/06/2013 00:25 par sweet-cherry

A vendre voiture décapotable !

05/06/2013 00:21 par sweet-cherry

  • A vendre voiture décapotable !

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    05/06/2013 00:21 par sweet-cherry